Texte lu
Disposant d’un lieu pour séjourner, que l’on soit locataire ou propriétaire, qu’il s’agisse d’un appartement modeste ou d’une demeure somptueuse, il semble naturel de l’entretenir, d’en prendre soin, de rendre cet espace accueillant.
Après tout, nous y passerons l’essentiel
de notre existence, et même en cas de mobilité, de déménagement, le principe
énoncé subsiste.
Et si nous aménageons convenablement les
lieux, les résidents et les hôtes conviés apprécieront à leur juste valeur
l’ambiance chaleureuse et le confort, nous aurons ainsi fait pour le mieux.
Un texte précédent (§ 37. La conscience,
rien que la conscience) indiquait que : « Nous vivions dans notre conscience », ce que l’on peut
décliner ainsi : nous « habitons » dans notre conscience avant
de « résider » dans un emplacement, quel qu’il soit.
Alors, cette volonté, ce soin, cette
énergie que nous déployons pour embellir une habitation, ne pourrions-nous pas
au préalable les consacrer à notre conscience qui, bien plus qu’une propriété
si spacieuse et luxueuse soit-elle, fait bien plus que nous accompagner durant
toute notre existence, car nous
sommes « ELLE » !
Mais malheureusement, il est fréquent
qu’on ne lui accorde guère d’attention.
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