Texte lu
Tiens, il y avait « Comprendre et accepter », et voici maintenant « Comprendre et regretter », une drôle de variante. Mais pourquoi pas !
La compréhension peut inciter à
l’épanchement, au regret lorsque l’on prend conscience de la portée et des
conséquences de certains actes que l’on a commis, qu’ils appartiennent à un
passé ancien ou récent.
De prime abord, on pourrait louer un tel
processus psychologique, notamment si la contrition qu’il provoque conduit à
l’amendement, au désir de réparer, aux renoncements envers de tels agissements.
Mais cela ouvre grand la « porte » de la conscience émotionnelle, et
qui sait ce qu’elle peut déverser à cette occasion.
Une autre solution ?
La compréhension seule suffit lorsqu’elle
émane de l’attention, livrant une vision claire et totale des événements :
ce qu’il aurait fallu faire, ce qui peut être rétabli ou compensé, et la
capacité d’oeuvrer désormais en conscience.
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